"Christiane Singer, semeuse de sens et d’éveil au cœur de l’Existence."

"Si une fois vous avez eu le goût du sacré dans le vécu, un instant, peut-être un jour, vous avez eu le goût de Dieu sur la langue, une fois alors tout à le goût de Dieu...au lieu de pleurer sur ce que j'ai perdu, MON DIEU te louer d'avoir connu!"

Elle est l’auteur de romans, d’essais, de récits personnels. Son écriture mêle littérature et spiritualité, quête intérieure, réflexion sur la vie, la mort, l’engagement, le sens. 

Elle s’intéresse particulièrement à ce qu’on pourrait appeler le spirituel vécu, souvent en silence, sans dogmatisme, avec une ouverture vers des sagesses orientales. 

Parmi ses œuvres majeures :

• La Mort viennoise (prix des libraires 1979) 

  La Guerre des filles (prix Alice‑Louis Barthou, Académie française) 

  Histoire d’âme (prix Albert Camus) 

  Rastenberg (1996), qui s’inspire du château où elle vivait. 

  Derniers fragments d’un long voyage, écrit à la fin de sa vie lorsqu’elle apprend qu’elle est gravement malade, livre intime.

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Christiane Singer voyait la dimension spirituelle non comme un luxe ou une abstraction, mais comme quelque chose de fondamental dans chaque vie humaine. Elle encourageait l’authenticité, la présence, la conscience de soi, le lien à l’instant. 

Sa spiritualité est chrétienne de base, mais ouverte et dialogueuse avec les sagesses orientales. Elle refuse le dogmatisme, laissant place à la recherche plutôt qu’à l’imposition. 

L’inspiration de Christiane Singer pour Haleb

Christiane Singer incarne cette spiritualité vivante qui ne s’enferme dans aucun dogme, mais qui s’exprime dans chaque geste, chaque souffle, chaque regard offert à l’instant présent. Son œuvre a profondément touché Haleb, non par des réponses toutes faites, mais par sa capacité à ouvrir des espaces intérieurs, à honorer le mystère,

à faire vibrer l’invisible dans les mots justes.

Chez elle, la spiritualité n’est pas une croyance, mais une qualité de présence, un art de vivre dans la conscience du fragile, du sacré, du réel. Elle parle de l’épreuve non comme

une chute, mais comme une initiation à l’âme, un passage vers une lumière plus grande, plus intime, plus nue.

Haleb s’est reconnue dans cette voie : celle où la beauté se mêle au tragique, où l’amour devient chemin de transfiguration, et où l’acte créatif se fait offrande vibratoire. L’approche énergétique de Haleb, ses peintures, ses lectures chromatiques, portent cette empreinte : restituer du sens, éveiller le cœur par les couleurs.

Christiane Singer a été pour Haleb une éclaireuse d’âme, une passeuse d’essentiel.

Elle a soufflé ce vent intérieur qui murmure que vivre, c’est oser aimer, même dans l’inconnu. Que créer, c’est répondre au mystère avec gratitude. 

Et que rayonner, c’est s’abandonner à sa lumière divine.